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Pour lui elle parfume ses aisselles, trace avec précision sur son ventre et à l'intérieur de ses cuisses des couloirs odoriférants. De sa langue pointue il goûte les liqueurs fauves qui suppurent au berceau de son plaisir. Il lui
arrive alors d'oublier ce qu'il est. Le corps de son esprit se couvre d'un pelage.
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