On peut dire qu'il était prêt.
Ceux qui l'ont vu partir avec armes et bagages n'ont pas craint qu'il puisse échouer.
C'est face
à la réalité révélée qu'il a soudainement compris l'étroitesse de ses rêves.
Un long moment il a médité devant la scène.
Personne n'était là pour témoigner de son embarras ou de sa peur.
Il aurait pu faire marche arrière dans l'honneur.
C'est le coeur tourmenté qu'il a pris sa décision : descendre dans l'arène.
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